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Joyce Azar: « DaarDaar fait un travail de service public »
27·12·22

Joyce Azar: « DaarDaar fait un travail de service public »

Temps de lecture : 2 minutes Crédit photo :

(c) Bart Dewaele

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En 2022, DaarDaar fêtait sa 7e année d’existence. À cette occasion, nous vous présentons les membres de l’équipe à travers quatre questions. Cette semaine, rencontre avec Joyce Azar, responsable éditoriale.

1. Raconte un de tes souvenirs les plus mémorables en Flandre…

J’ai beaucoup de souvenirs liés à la Flandre, sachant que j’ai grandi à Anvers. Quand j’y repense, ce sont avant tout les moments passés avec ma voisine flamande (et meilleure amie de l’époque) qui me reviennent. Elle m’a fait découvrir énormément de choses au cœur de cette belle ville. Elle me prêtait aussi régulièrement ses livres et bandes dessinées en néerlandais, ce qui m’a énormément aidé à apprendre la langue, mais aussi la culture flamande.

« Madame Flandre » aide les francophones à mieux comprendre leurs compatriotes flamands

2. Ton article/projet préféré de DaarDaar et pourquoi ?

Il m’est très difficile d’en choisir un, sachant que je suis celle qui sélectionne ces articles, en gardant toujours à l’esprit l’intérêt qu’ils pourraient avoir pour les lecteurs de DaarDaar.

S’il fallait vraiment en choisir un, j’opterais pour l’interview d’Alex Vizorek, que j’ai eu le plaisir de réaliser. Dans cet entretien, ce Français d’adoption nous raconte son attachement à la Belgique et sa perception des liens entre les communautés linguistiques du pays. Pour lui, « dire que Flamands et francophones ne s’entendent pas est le pire cliché qui soit ». Et je suis assez d’accord avec lui ;-)

« Dire que Flamands et francophones ne s’entendent pas est le pire cliché qui soit »

3. Pour toi, DaarDaar, c’est quoi ?

Comme le dit très bien son slogan, DaarDaar c’est tous les jours le meilleurs de la presse flamande en français. Mais depuis son lancement, DaarDaar est devenu bien plus que ça. Outre les nombreuses analyses et les éditoriaux de tous bords, le site propose aussi un podcast, ou encore des vidéos animées

L’objectif est encore et toujours de briser la barrière linguistique, et les stéréotypes dans la foulée. DaarDaar est donc un média qui jette des ponts entre les communautés du pays. Mieux comprendre les compatriotes du nord permet en effet de plus facilement s’en rapprocher!

4. Pourquoi les lecteurs devraient-ils soutenir DaarDaar ?

DaarDaar fait un travail de service public. Son accès est gratuit pour tous, mais l’énorme travail qu’il y a derrière ne l’est pas! Quasi tous les membres de DaarDaar sont bénévoles, mais il faut derrière ça pouvoir rétribuer les traducteurs pour leur excellent travail. Il faut également payer les droits d’auteur aux journaux flamands dont nous traduisons les articles.

Tout cela est possible grâce aux subsides que nous obtenons des autorités (notamment wallonnes et bruxelloises), mais aussi grâce aux dons que nous recevons de nos lecteurs! Leur soutien est essentiel pour préserver les activités quotidiennes de DaarDaar… Nous leur offrons comme cadeau la possibilité de pouvoir lire gratuitement des articles qui sont généralement payants sur les sites des quotidiens flamands. Un petit don pourrait donc en quelque sorte faire office de remerciement de la part des lecteurs qui apprécient ce service.

J’en profite d’ailleurs pour remercier de tout cœur toutes celles et ceux qui soutiennent déjà notre beau projet !

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