C’est l’histoire d’un politologue français passionné par la Belgique, d’un jeune diplômé motivé et inspiré et d’une journaliste originaire d’ailleurs et amoureuse de la diversité des langues.
C’est l’histoire d’un plat pays, attachant et complexe, étonnant et parfois surréaliste, tantôt uni, tantôt fissuré par des mécompréhensions culturelles et linguistiques.
C’est l’histoire d’un média, qui se construit et se transforme, qui s’adapte à de nouvelles nécessités, qui évolue au fil des développements technologiques.
C’est de ce cocktail d’histoires qu’a émergé Daardaar. Au fil des mois, il a pris forme et s’affiche désormais fièrement sur la Toile, se frayant un chemin parmi la multitude de sites d’information. Daardaar se veut unique : ce nouveau Pure player belge a pour objectif premier d’informer les gens du Sud sur ce qui se passe au Nord. Ou plus globalement d’informer les personnes intéressées par la Flandre, dans une langue qu’elles comprennent. Le moyen est simple : faire traduire des articles et des éditoriaux afin d’offrir au quotidien une sélection représentative de ce qui se dit et se lit dans l’ensemble de la presse flamande, de ce qui fait débat ‘daar’, là-bas…
Le pari est lancé : aujourd’hui Daardaar est né. Certes, comme pour toute naissance médiatique, la gestation n’est pas sans risque. Mais Daardaar croit en sa nécessité d’être, et ses fondateurs sont persuadés qu’il trouvera un public enthousiaste et curieux.
Si cette histoire vous plaît, suivez la, construisez la avec nous, aidez-nous à faire en sorte qu’elle s’épanouisse, afin de permettre à tout un chacun de mieux comprendre les enjeux qui se jouent de l’autre côté de la frontière linguistique.