Quand la peur du métro refait surface
Selon Emiel Roothooft, le métro bruxellois est un champ d’angoisse concentrique à haute tension, avec Rogier pour épicentre. Opinion parue dans le Standaard.
Copiez-collez cette URL dans votre site WordPress pour l’inclure
Copiez-collez ce code sur votre site pour l’y intégrer