Demandeurs d’asile : un afflux de main d’oeuvre à recruter

Étant donné que de nombreux réfugiés ne peuvent être renvoyés chez eux pour diverses raisons, autant leur accorder rapidement l’asile, selon Liliana Casagrande. La Belgique en sortirait doublement gagnante : elle économiserait des coûts liés à sa fastidieuse politique d’accueil, et disposerait d’une main d’œuvre qui pourrait venir combler le cruel manque de personnel dans certaines filières.