Notre bon roi semblait plutôt mal à l’aise lors de son allocution du 21 juillet. Illustration en 8 images.
Dans son allocution du 21 juillet, le roi Philippe avait choisi de ne pas rester assis de façon statique derrière son bureau, mais de s’adresser debout à la nation. Le problème, c’est que notre souverain n’est pas nécessairement un monstre de décontraction. Résultat : une posture crispée et des mains assez encombrantes, qui n’ont pas manqué d’amuser les internautes. Et dire qu’il avait tenu, d’un ton pour le moins paternaliste, à nous mettre en garde contre les dangers des réseaux sociaux !
Comme chaque année, notre pays a joyeusement célébré sa fête nationale ce 21 juillet. Tradition oblige, ce jour fut également l’occasion d’entendre notre bon roi Philippe s’adresser à la population. L’essence de son message : prenez garde à l’hyperconnexion aux réseaux sociaux ! Oh oh, il ne croyait pas si bien dire !
Très honnêtement, nous n’avons pas retenu grand-chose du contenu de son allocution. Le roi se tenait là face à nous, droit comme un « i », ne sachant que faire de ses deux mains. Difficile de se concentrer sur son message dans ces conditions ! Par souci d’exhaustivité, nous partageons quand même son discours en intégralité au bas de cette page.
« Parfois, le monde virtuel envahit notre vie et s’impose à nous sans que nous l’ayons réellement décidé. Ayant considérablement réduit le temps et l’espace, il nous pousse à vouloir tout, tout de suite. Cela peut conduire à des relations superficielles qui ne laissent plus le temps au ciment humain de ‘prendre’ et de construire durablement», avait-il déploré.
Comble de l’ironie, le Palais royal a tweeté, quelques instants à peine après le discours, un message invitant ceux qui le souhaitent à « liker » sa nouvelle page Facebook. Véridique.
Dès le début, on constate que notre roi n’est pas très à l’aise dans cette position.
Il semble vouloir se fâcher tout rouge, mais il n’ose pas.
Mais que fait-il à présent avec sa main gauche ? La main droite reste quant à elle maladroitement ballante.
Dissipons toute inquiétude dans le chef des royalistes : notre souverain ne souffre d’aucune paralysie de la main droite.
Le sommet de la crispation ! Un moment qui semble interminable pour le roi.
Heureusement, un ami qui lui veut du bien finit par lui conseiller de croiser les mains.
OUF ! Voilà qui est déjà beaucoup mieux !
Mais il faut bien reconnaître qu’il y a encore du boulot.
Le discours dans son intégralité :